Cartons: “Vous présente” - “SON FILM de la GUERRE 1939-1945” - “et de la LIBERATION” - “avec SA REVUE de L’ANNÉE 1947” - “LE THEIL” - “Coquette bourgade au bord de la vallée d’Huisne”

Vues sur ladite vallée (?), puis panorama sur une ville - Quelques bâtiments industriels - Une rue, puis les mêmes bâtiments industriels - La ville depuis le bord du ruisseau - La famille posant pour la caméra sur un pont en pierre - Une rue - Deux personnes marchent au loin sur la place en face de l’Église du Theil (61), suivi de plans rapprochés sur la façade de l’Église - Plans sur le monument aux morts pour la France de 14-18

Carton: “Ce qui a causé tant d’appréhensions pendant la guerre : la station électrique” - Un train défilant à toute vitesse - Des structures métalliques derrière une habitation - Plan sur le panneau Le Theil sur Huisne près du chemin de fer, à côté d’un camion sur lequel est inscrit “SNCF Chartres” - La station électrique et structures métalliques - Plans sur des hommes marchant près de la station

Cartons: “Le Theil a subi 11 bombardements pendant la guerre” - “Le 1er celui du cirque nuit du 22 juin 1942 — Quelques dégâts matériels” - “Le 2e, Rameaux 1943 — La station électrique flambe. Ruines Souvré” - Vues sur des habitations en ruines

Cartons: “6 juin 1944, ALERTE ! Les Alliés ont débarqué…” - “Dès lors les bombardements sont à jet continu. A chaque fois, gare et station sont visées” - “11 juin — En voici qui l’ont échappé belle !” - Vues sur quelques bâtiments industriels dont une cheminée depuis une cour intérieure - Un hangar à côté d’une gare et d’un train à l’arrêt - Vue sur un portail de maison depuis la rue, avec plus loin un bâtiment industriel - Des personnes se tenant devant ledit portail, juste à côté d’une bombe qui n’a pas explosé - Plans sur la bombe

Carton: “30 juin — Une bombe qui préfère le train à l’avion !” - Vue sur des ruines, puis sur des hommes se tenant près de chemins de fer, suivie d’une vue sur d’autres habitations en ruines

Cartons: “Juillet — Et celle-ci qui après avoir abattu la cheminée de M. Blin…” - Courte vue sur une habitation avec un véhicule garé à côté d’un muret - “veut goûter l’herbe normande”. - Deux hommes se tiennent juste derrière une bombe non explosée, qui sont rejoins par d’autres personnes - Les personnes examinent la bombe de plus près

Carton: “Au Pressoir… Il est grand temps de déménager.” - Un vieil homme tenant de la paille sous son bras, puis vue sur le Pressoir - Plusieurs personnes dans la cour du Pressoir, on aperçoit quelques meubles à l’extérieur - Plan sur les personnes présentes posant pour la caméra.

Carton: “Grand temps aussi de creuser des tranchées-abris sur la place.” - Des hommes creusant des tranchées sur la place en face de l’Église du Theil - Plans sur la façade et le clocher de l’Église - Une mère et sa fille passent devant les hommes qui creusent les tranchées - Un homme sur une calèche, puis vue sur la place après les travaux

Cartons: “31 juillet, Coup dur ! Un train s’est camouflé derrière la cidrerie Dourdoigne” - “Dès 10 heures: Attaque. Résultats…” - “Garage de M. Duc” - Un bâtiment en ruines près des chemins de fer - Un très grand bâtiment “Papiers à cigarettes Abadie” partiellement détruit - Les habitations près des chemins de fer dont les toits sont endommagés - Des équipements laissés à l’abandon sur le bord des rails - Une rue se tenant derrière les cratères laissés par les bombes - Plans sur des roues de charette abandonnées - Des ruines en face de l’Usine Abadie

Carton: “Pauvre Mme Pottier” - Vue sur la maison de Mme Pottier en ruines, puis sur deux dames se tenant devant les ruines

Carton: “13 heures l’on remet ça ! La cidrerie est-elle atteinte ?” - Vue sur une ruelle depuis laquelle de la fumée s’échappe

Cartons: “Non. C’est le train qui flambe, mais aussi les maisons Nartus et Tuffier…” - “Ne sont plus qu’amas de ruines.” - Des hommes deblayant les ruines des maisons à la pelle, un des hommes semble avoir trouvé un mannequin - Deux hommes posant pour la caméra, un d’entre eux tenant une boite(?) et montre son contenu

Cartons: “La gare a disparu” - “8 août, dernier coup et le plus dur” - “La Malbroue en ruines” - Des hommes dans une rue en terre battue, puis une vue sur les maisons longeant la rue

Carton: “Chez M. Toutain” - Des hommes arrivant avec des vélos et des malettes, un homme hors-champ nous montre une munition(?) - D’autres personnes les rejoignent, deux hommes portent une boite - Plans sur de nombreuses personnes d’abord dans une cour intérieure, puis dans la rue en train de regarder les ruines - Quatre hommes transportent deux boites, puis plan sur deux hommes faisant de même

Carton: “Route coupée” - Vue sur un trou au milieu de la route, avec un seul petit ponton en bois reliant les deux bouts

Carton: “Départ des ouvriers Todt” - Plusieurs personnes sur deux camions faisant marche arrière dans une rue, sur un panneau collé au dos d’un des camions on lit “DESPLATS et LEFEVRE, PARIS, SEINE”; dans le deuxième camion on apperçoit de nombreuses valises - Vue sur l’avant du camion, couvert de vélos. Sur le dessus du camion, des hommes portent les drapeaux des alliés - Les camions de profil

Carton: “La bouillie (forêt près de la ville) sent le brûlé pour les occupants.” - Vue sur la place sur laquelle sont regroupés des hommes et des chevaux - Un homme marchant dans les rues

Carton: “Nanou vient de leur donner le coup de pied de l’âne” - L’âne à l’arrêt dans la rue, avec un homme sur la charette que tire l’âne, suivi d’une vue des gens autours carressant la tête de l’âne - L’âne tracte un couple sur une charette

Carton: “La libération approche. Les postes de TSF sont repris à la mairie.” - Deux hommes posant pour la caméra, un tenant une boite sous le bras et l’autre porte un uniforme (gendarme?) - Un homme tient une boite à deux mains, suivi d’un autre homme faisant de même - Plan sur une jeune fille

Carton: “En voulez-vous de l’essence ?” - Vue sur un regroupement de personnes devant un camion qui transporte une cargaison (essence?) - Vue sur la foule aux alentour

Carton: “Le clocher pavoise” - Trois drapeaux des alliés (U.S. ; France ; Royaume-Uni) tendus au sommet du clocher

Carton: “Un qu’on n’attendait pas… D’où sort M. De Courson ?” - Vue très rapide d’un homme souriant

Carton: “Enfin ! Samedi 12 août 1944. Vive nos libérateurs.”