PASSAGE DE LA FLAMME OLYMPIQUE
- Année
- 2024 précisément
- Un film de
- NORMANDIE IMAGES
- Durée
- 00:01:34
- Coloration
- Couleur
- Son
- Muet sonorisé
- Numéro d'inventaire
- 0010NN0273
- Collection
- Normandie Images
Nous sommes fin décembre 1967 dans le Jura. Pierre Beaudoin, cinéaste amateur de Normandie, immortalise avec sa caméra 8 mm, le passage et relai de la flamme olympique des Jeux d’Hiver de 1968, qui se déroulait à Grenoble du 6 au 18 Février.
Il y eut environ 5 000 porteurs de flamme en France. Tels que Alain Mimoun, des sportifs des régions où elle passait… ou encore Alain Calmat, dernier relayeur. On lui fixa un microphone sur sa poitrine, ses battements de cœur ont résonné dans tout le stade alors qu’il montait les marches jusqu’au chaudron olympique.
Le saviez-vous :
Dans l’Antiquité, les Grecs considéraient le feu comme un élément d’origine divine et avaient pour habitude de faire brûler un feu en permanence devant les principaux temples. C’était le cas dans le sanctuaire d’Olympie où se déroulaient les Jeux Olympiques de l’Antiquité. Afin d’en garantir la pureté, la Flamme était allumée à l’aide des rayons du soleil captés au centre d’un récipient appelé skaphia, l’ancêtre du miroir parabolique utilisé de nos jours. Une Flamme brûlait en permanence sur l’autel de la déesse Hestia, et des feux étaient également allumés sur les autels de Zeus et de Héra.
Aujourd’hui, la pureté de la Flamme Olympique des Jeux de l’ère moderne est préservée. Comme dans le passé, la Flamme naît des rayons du soleil devant les vestiges du temple d’Héra à Olympie. Elle représente toujours cet idéal de paix et d’unité entre les peuples. Elle annonce l’arrivée des Jeux à venir.
Extraits de :
"Bretagne, Jura, Flamme olympique", Pierre Baudouin, 1970, 8mm
Remerciements :
Catherine Bertin
Il y eut environ 5 000 porteurs de flamme en France. Tels que Alain Mimoun, des sportifs des régions où elle passait… ou encore Alain Calmat, dernier relayeur. On lui fixa un microphone sur sa poitrine, ses battements de cœur ont résonné dans tout le stade alors qu’il montait les marches jusqu’au chaudron olympique.
Le saviez-vous :
Dans l’Antiquité, les Grecs considéraient le feu comme un élément d’origine divine et avaient pour habitude de faire brûler un feu en permanence devant les principaux temples. C’était le cas dans le sanctuaire d’Olympie où se déroulaient les Jeux Olympiques de l’Antiquité. Afin d’en garantir la pureté, la Flamme était allumée à l’aide des rayons du soleil captés au centre d’un récipient appelé skaphia, l’ancêtre du miroir parabolique utilisé de nos jours. Une Flamme brûlait en permanence sur l’autel de la déesse Hestia, et des feux étaient également allumés sur les autels de Zeus et de Héra.
Aujourd’hui, la pureté de la Flamme Olympique des Jeux de l’ère moderne est préservée. Comme dans le passé, la Flamme naît des rayons du soleil devant les vestiges du temple d’Héra à Olympie. Elle représente toujours cet idéal de paix et d’unité entre les peuples. Elle annonce l’arrivée des Jeux à venir.
Extraits de :
"Bretagne, Jura, Flamme olympique", Pierre Baudouin, 1970, 8mm
Remerciements :
Catherine Bertin
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